Dans la continuité des recherches artistiques d’Atelier Polyhedre, deux éléments essentiels sont à l’origine des vases Inpli, le plus grand, et Expli : la confrontation inattendue de deux sources stylistiques et la volonté de questionner de façon plus radicale, la notion d’anses ainsi que leur usage.
L’inspiration s’appuie d’abord sur les intérêts forts pour la vannerie traditionnelle japonaise et les céramiques grecques antiques de la période proto-corinthienne. Ces références, qui peuvent apparaître très éloignées, se rassemblent pourtant afin de faire émerger des formes nouvelles.
À l’instar de l’otoshi, pièce de bambou insérée dans un délicat tressage végétal, les vases sont comme composés de deux éléments : Un tube réceptacle et son enveloppe. Le tout retenu par un anneau aux proportions généreuses empruntées aux cols des aryballes grecs, citation amplifiée par l’emploi de la terracotta, matériau signature de l’atelier.
À la fois ouverts et fermés, les deux vases en faïence se caractérisent par cette épaisse feuille courbée qui les entoure et les structure. Cette intrication génère ainsi la création des doubles anses pleines. Certes, celles-ci deviennent quasi abstraites mais conservent néanmoins leur fonction première pour la manipulation des pièces.
Plier, contraindre et joindre : Un exercice de tension et d’assemblage où s’affirme la combinaison des tranches. Celle du col et celles du corps ployé pour la circulation des lignes et leur imbrications tendues.
En découle des silhouettes ancrées et verticales, adoucies par les mouvements circulaires sur lesquels glissent les ombres et les lumières révélant par contraste les contours et surfaces qui les composent.
NOUVEAUTÉ 2022
EXPLI & INPLI
Dans la continuité des recherches artistiques d’Atelier Polyhedre, deux éléments essentiels sont à l’origine des vases Inpli, le plus grand, et Expli : la confrontation inattendue de deux sources stylistiques et la volonté de questionner de façon plus radicale, la notion d’anses ainsi que leur usage.
L’inspiration s’appuie d’abord sur les intérêts forts pour la vannerie traditionnelle japonaise et les céramiques grecques antiques de la période proto-corinthienne. Ces références, qui peuvent apparaître très éloignées, se rassemblent pourtant afin de faire émerger des formes nouvelles.
À l’instar de l’otoshi, pièce de bambou insérée dans un délicat tressage végétal, les vases sont comme composés de deux éléments : Un tube réceptacle et son enveloppe. Le tout retenu par un anneau aux proportions généreuses empruntées aux cols des aryballes grecs, citation amplifiée par l’emploi de la terracotta, matériau signature de l’atelier.
À la fois ouverts et fermés, les deux vases en faïence se caractérisent par cette épaisse feuille courbée qui les entoure et les structure. Cette intrication génère ainsi la création des doubles anses pleines. Certes, celles-ci deviennent quasi abstraites mais conservent néanmoins leur fonction première pour la manipulation des pièces.
Plier, contraindre et joindre : Un exercice de tension et d’assemblage où s’affirme la combinaison des tranches. Celle du col et celles du corps ployé pour la circulation des lignes et leur imbrications tendues.
En découle des silhouettes ancrées et verticales, adoucies par les mouvements circulaires sur lesquels glissent les ombres et les lumières révélant par contraste les contours et surfaces qui les composent.